“Pour faire carrière, il vaut mieux avoir des connaissances que du savoir” (Cornichon)
Cette phrase a été inspirée par un personnage réel et elle traduit la difficulté à donner des principes à nos enfants.
Pour simplifier, il serait préférable d’avoir un bon carnet d’adresses, de pouvoir contacter les bonnes personnes au bon moment que de réellement être compétent.
J’aime bien l’ambiguïté et le jeu de mot sur “connaissances”.
Mais cela donne à réfléchir. D’où la citation suivante:
“Si tu ne penses pas, tu réfléchis” (Cornichon)
Tout simplement, si tu n’es pas capable de penser par toi même, tu ne peux avoir des idées intéressantes, tu ne peux que répéter ce que tu entends (le réfléchir comme un miroir, ahrf, ahrf).
Par exemple, au lieu de penser par toi même, tu fais des citations. C’est peut-être un des drames de l’enseignement, t’apprendre à répéter au lieu de t’apprendre à penser.
“Un complotiste, c’est quelqu’un qui n’accepte pas la pensée officielle” (elle est de moi celle là)
Ce terme de complotiste fleurit en ce moment dans toute la presse, c’est le meilleur moyen de couper court à toute discussion, à toute contestation de la pensée officielle sur la covid.
Il y a quelque temps, je m’étais interrogé sur la différence entre un résistant et un terroriste, partant du fait que, pendant la seconde guerre mondiale, la pensée officielle nommait “terroristes” ceux que l’on appelle aujourd’hui “résistants”. J’étais arrivé à la conclusion que un résistant était un terroriste qui avait gagné ou un terroriste dont on soutenait la cause.
Il en va de même aujourd’hui avec le complotiste, il est baptisé ainsi au seul motif qu’il n’accepte pas la pensée officielle, peut-être que les rôles changeront demain.
Complotiste, à une autre époque on criait anathème et on brulait les hérétiques, il y a du progrès. Et si, au delà d’une crise sanitaire réelle mais pas si grave que ça, nous étions face à une crise de société inventant une nouvelle religion, avec ses rites, ses prophètes de malheur, ses grand prêtres?